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 La France sous la monarchie des Capétien-Valois

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chaton
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chaton


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La France sous la monarchie des Capétien-Valois Empty
MessageSujet: La France sous la monarchie des Capétien-Valois   La France sous la monarchie des Capétien-Valois Icon_minitimeVen 9 Fév - 21:49

La France sous la monarchie des Capétien-Valois




Le royaume de France à très bien résisté à Charles Quint et à son empire. Ce royaume est solide, il à survécut à une bonne cinquantaine de guerre. Louis XII (1498-1515), (àpetit cousin) François Ier (1515-1547), (à fils) Henri II (1547-1559), puis François II(1559-1560), Charles IX (1560-1574) et Henri III, (1574-1589) qui était les 3 fils de François Ier, et qui n’eurent pas d’enfant. En très large mesure, cette dynastie dura de Hugues Capet (987) à Louis Philipe (1848).


I) La France et ses rois.
A) L’unité territoriale.
Aucun pays n’est aussi unie que la France (à part peut être l’Angleterre). Les grands féodaux ne sont plus un danger (fin de Bourgogne en 1477, fin de Bretagne en 1538…). Le pays est donc unifié.

B) La richesse du pays.
Cette richesse se traduit par son nombre d’habitant (15 millions), elle à donc une force de travail, et donc une grande richesse. Ce pays s’enrichit solidement au cours du 16ème siècle. En effet bien que le pays soit souvent en guerre, elles sont souvent limitées. La mise en valeur de l’Amérique fut aussi un événement important qui contribua à l’enrichissement de la France. Il enrichit d’abord les ports (commerce transatlantique) puis leur région avoisinante. Il y a, à cette époque, une importante évolution commerciale. Mais la France n’est pas le seul pays de l’Europe à en bénéficier. La France à cette époque ce couvre de monuments sublimes de la Renaissance, c’est une expansion artistique qui prouve cette richesse.

C) François Ier .
Il est désigné comme le roi chevalier. Mais le français moyen ne connaît pas le roi sauf sur les pièces. L’imprimerie connaît un succès foudroyant, ce qui permet la diffusion de son portrait (gravure). Il est un roi chevalier car il est jeune (21 ans), ce qui se différencie de ces prédécesseur. Le jeune roi à du prestige, ce qui est important pour un système ou le pouvoir est centralisé. Il à un goût particulier pour l’art et la beauté. Il aime l’apparence (il est superficiel). Il a notamment acheté la Joconde. Son prestige militaire et à son sommet en 1515 (bataille de Marignan) car il a vaincu la meilleur armée du monde. Il aime aussi les lettres. Il a été influencé par sa mère, Louise de Savoie, sur l’avidité, l’autorité, l’ambition… Margueritte d’Angoulême, la sœur du Roi, est une intelligence supérieur, tournée vers la poésie et les choses du monde, la religion… Elle a ouvert les yeux de son frère sur les réformes protestantes. Le roi est un prince extrêmement autoritaire.

D) Les théories politiques.
On peut en compter 2 surtout. A qui appartient la souveraineté (pouvoir de commander et de punir, c’est l’autorité que possède certaines personne pour freiner notre liberté) ? Les uns disent, au nom de l’égalité des peuples, le pouvoirs doit lui appartenir, si il y a un roi il n’est qu’un délégué. Cette théorie a beaucoup de succès au Moyen Age. Elle périclite ensuite car on pense que la France devrait suivre un seul pouvoir, donc un roi. Le roi de France n’est soumis ni à l’empereur ni au Pape : « le roi est empereur de son royaume ». Le roi n’est pas tenu d’obéir aux lois ordinaire : « rex solutus (=absolutus) est legibus » (le roi est délié des lois). Le roi peut abroger les lois de ses prédécesseurs. En revanche, le roi doit respecter et faire respecter les lois divines et humaines, que l’on appelle aussi le droit naturel (respect de la propriété, respect de la famille). Il est le gardien des droits naturels, des privilèges. Ce n’est pas un despote, il est le père du pays.

E) Nature de la royauté française.
1) Monarque chrétien :
La monarchie française se fonde en 484, lorsque Clovis, le roi des francs, qui se fait baptiser à Reims par le Pape Remi. Le roi est sacré, le Sacre du roi se déroule à Reims en présence de la haute noblesse et l’église. Il reçoit les symboles de la royauté : la couronne, le glaive et la main de justice. Après le sacre, il est comme magique, on le dit thaumaturge (le roi te touche, dieu te guérit). Le sacre ne fait pourtant pas le roi, mais il est investit du pouvoir royal à la mort de son prédécesseur (le roi est mort, vive le roi : la royauté est immortelle).
2) Monarque féodal :
Le roi est à la tête de la pyramide féodal :
I Roi

IIIIII Comte – Duc

IIIIIIIIIIIIIII Seigneurs

IIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIII Sujets

3) Devoir du roi :
Rendre et faire rendre bonne justice (suprême justicier), il peut régler un procès lui même. Il délègue des juges qui ne tiennent leur pouvoir du roi.
Il a le pouvoir de grâce.
A lui seul appartient le droit de guerre, il a toute autorité sur l’armée et la diplomatie. Il a le droit de battre monnaie (il peut réévaluer ou de dévaluer la monnaie). Il peut lever de nouveau impôts et peut anoblir qui il veut.
Il est obligé de prendre ces décisions en conseils (il écoute le conseil puis prend sa décision).
4) Droit fondamental :
La couronne est transmise par ordre de primogéniture mâle légitime. Les femmes et leurs descendances sont exclues de la succession du trône de France en vertu de la loi salique. Le domaine royal est inaliénable. Le roi est chrétien et catholique.



II) Le gouvernement de l’ancienne France
A) Limiter les oppositions.
Les états généraux étaient là où figuraient les représentants du clergé de la noblesse et du tiers-états. Ils ne sont généralement convoqués que pour les augmentations d’impôts. Les députés expliquaient ce qui n’allait pas dans le royaume et ils demandaient des réformes qui étaient acceptées en échange d’augmentations d’impôts.
Le parlement était une cour de justice, un tribunal (7 en tout : Toulouse, Bordeaux, Rennes, Rouen, Grenoble, Dijon, et Aix). Le plus important est le parlement de Paris. Il bénéficie du droit d’enregistrement et de remontrance (remarque sur les lois). François Ier et Henri II ont demandé au parlement de ne se mêler en aucune manière aux affaires politiques. Les religieux donnent des instructions (morale, proche de la politique) au peuple eux aussi, ce qui explique les frictions entre l’église et l’état. Ces religieux sont notamment les moines mendiants (les franciscains (ou cordelier) et les bénédictins). L’état interdit à ces gens de critiquer les idées politiques. L’université fut fermement inviter à enseigner les doctrines favorables à l’absolutisme, et oublier les doctrines démocratiques (ne pas les enseigner). Le théâtre, confréries théâtrales, est lui aussi surveillé (profanes ou religieux). Il pouvait être un foyer de contestation, c’est pourquoi ils ont été dissouts. C’est l’apparition du théâtre savant (muet ou clownesque).

B) Développer la vie de cour.
Chambord, Fontainebleau, Villers-cotterêts… La Cour n’est pas fixe, elle va de châteaux en châteaux (difficulté de bureaucratie), on dit que la noblesse est domestiquée. La cour est le lieu par excellence pour l’évolution des arts et des lettres.



III) L’administration
Il existe en France d’autres parlements (autres que Paris) Ils sont dans les plus grandes villes de France. Roi - Parlements – Présidiaux (1552) – Bailliage ou Sénéchaussées – Prévôté. Dans les campagnes, on retrouve des tribunaux seigneuriaux ou des tribunaux d’Eglises (petite importance). Les magistrats des parlements sont appelés officiers (office). Pour être officier, il faut acheter sa charge.

1) Les finances
Les finances royales s’alourdissent de plus en plus (du fait des dépenses militaires). Il a une armée permanente, les nouvelles techniques de guerre coûtent de plus en plus, développement donc des armes à feu, du mercenariat, des fortifications des villes. De plus la vie de Cour est de plus en plus chère et de plus en plus coûteuse. Le roi fixe les sommes d’argent dont il a besoin (impôts). L’impôt des Aides : le peuple aide le roi à financer les dépenses de l’état (sur les boissons alcoolisées ou les jeux de cartes). La gabelle, (impôts sur le sel) qui est un impôts lourd et détesté qui entraîne souvent de la contrebande de sel. La taille qui est le grand impôt sur les roturiers (nobles et clergé en sont exempté). Ceci sont les ressources ordinaires de la monarchie.
On peu ensuite voir les ressources extraordinaires, qui sont l’emprunt aux banques ou aux particuliers. Les ventes d’offices sont aussi une rente, voire une vente de noblesse (expédients). Les finances royales sont mal contrôlées, énormément d’abus, l’argent entre et sort un peu n’importe comment, qui est pourtant contrôlé par la chambre des comptes, qui compte l’argent des comptables.

2) L’administration militaire
Dans les provinces, les gouverneurs administrent l’armée. Tous les gouverneurs appartiennent à la haute noblesse, désigné par le roi qui a le droit de révoquer mais qui ne le fait pas. Ce sont les agents du roi les plus magnifiquement gratifiés (bien payé). Ils ont aussi l’entretient et la surveillance des places fortes. A proprement parler, la France n’a pas de puissance navale fixe. Si une guerre navale éclate, on demande aux armateurs de transformer les bateaux en navires de guerre. Celui qui s’en charge et le maréchal de France.

3) L’église et l’état
curé – paroisse – diocèse – évêques(ou archevêques) + chanoines – pape
Doctrine constante de l’église de France. Ultramontanisme, le pape a autorité sur l’église universelle et conflits car le roi a autorité sur l’église de France. Elle a de l’emprise sur les armes. On engage pas le conflits contre l’Eglise (l’empire la fait, il est ruiné). Le concordat de Bologne (1516), au roi l’organisation, matérielle de l’église, au pape l’organisation spirituelle (dictionnaire de l’ancien régime de Belly)
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